[...] Mais l’architecture nous ramène inexorablement au pli sur pli. Celui de l’immeuble «Bonjour tristesse» de Berlin, que nous retrouvons étrangement chez Alvaro Siza… en Corée. Celui des tours «dansantes» de Zaha Hadid ou de MVRDV. Celui, bien sûr, du Flat Iron… Les machines à habiter nomades de Jean Prouvé se télescopent avec les immeubles marseillais de Fernand Pouillon. La première pierre du futur musée Soulages à Rodez est posée tandis qu’on pétitionne pour sauver de la démolition la Fabrique Gaupillat de Meudon. Et les gradins de la Grande-Motte nous restituent les mondes en pyramide de l’Empire colonial. [...]
[...] Mais l’architecture nous ramène inexorablement au pli sur pli. Celui de l’immeuble «Bonjour tristesse» de Berlin, que nous retrouvons étrangement chez Alvaro Siza… en Corée. Celui des tours «dansantes» de Zaha Hadid ou de MVRDV. Celui, bien sûr, du Flat Iron… Les machines à habiter nomades de Jean Prouvé se télescopent avec les immeubles marseillais de Fernand Pouillon. La première pierre du futur musée Soulages à Rodez est posée tandis qu’on pétitionne pour sauver de la démolition la Fabrique Gaupillat de Meudon. Et les gradins de la Grande-Motte nous restituent les mondes en pyramide de l’Empire colonial. [...]
Wow thats really cool. Big, bigger, biggest to the extreme. My son would love that poster on his wall!!